Frontex jouit d’une grande autonomie d'action, sans qu’un réel contrôle soit exercé sur ses activités.

L’un des enjeux de la campagne est donc de sensibiliser les responsables politiques, et en particulier les parlementaires, à l’impact des actions de Frontex sur les droits des migrants (en ce qui concerne les élus européens et ceux des États membres de l’Union européenne) et sur les droits des ressortissants des pays tiers (en ce qui concerne les élus CEDEAO et ceux des pays africains).

Un groupe de travail a été créé pour réfléchir aux actions à mener pour que les hommes et femmes politiques prennent la mesure des enjeux en termes de droits fondamentaux et relaient les préoccupations soulevées par la campagne au niveau institutionnel.